Mon Premier Voyage De Femme « Libre »… 22° Partie Et Fin

Nous venions de passer Clermont-Ferrand quand Jeff décida de sortir de l’autoroute pour trouver un restaurant. La sortie débouchât sur un champ d’éolienne. Jeff s’arrêta dans un petit chemin. Il sortit et vint m’ouvrir la portière. Je me sentais toute petite devant ces tours de métal. L’effet était saisissant. Le bruit était étourdissant. Nous restâmes un moment à contempler les pales qui tournaient. Jeff me prit la main pour marcher au pied des éoliennes. Ma robe était restée ouverte. Elle virevoltait autour de moi. Je marchais quasiment nue. Jeff s’écarta de moi et me sourit. Je ne pouvais m’empêcher de rougir… Comment fait-il ?

Il prit de nombreuses photos sous toutes les coutures. Sur les dernières, il me demanda de me cambrer contre une barrière et d’écarter les fesses pour faire ressortir le plug. Obéissante, je posais. J’en avais l’habitude avec mon mari Paul, photographe dans l’âme.

Tandis que je posais, indécente, les fesses écartées, je vis au loin un homme qui courait pour se rapprocher. Il s’arrêta pour nous observer. Un voyeur sans aucun doute.

J’en avais presque oublié Jeff que je surpris contre moi. Mon œuf se mit à vibrer lentement. Jeff s’empara de mon bouton, déjà tout dur, pour l’exciter. Son autre main avait empaumé mon sein gauche et ses doigts martyrisaient mon téton. Une sensation qui alternait douleur et plaisir. Il m’obligea à me cambrer davantage et sortit le plug de mon anus pour me le glisser dans la bouche. J’observais tant bien que mal mon voyeur qui semblait s’agiter. J’étais proche de la jouissance. Jeff le sentit et vint positionner sa queue contre mon anus pour venir dans mes reins. Son sexe, dur comme du bois, s’enfonça facilement. Mon fourreau anal s’était assoupli lors de mon séjour parisien.

J’entendis Jeff gémir une fois sa queue totalement enfouie dans mon fondement. Ses baisers dans le cou, ses mains et ses doigts agiles me faisaient perdre pied.

Je me déhanchais, doucement tout d’abord, puis plus rapidement pour donner du mouvement à son pal profondément enfoncé. Je n’étais qu’un sexe à la sensibilité exacerbée. Je branlais mon amant avec mon cul et mon plaisir progressait par vagues successives. Jeff me laissait faire. Il jouait avec ses mains, comme le ferait un pianiste. J’étais son clavier ; les touches, mes multiples zones érogènes. Nous nous aimions à l’unisson. Je dédiais mentalement notre représentation au voyeur qui n’aurait plus jamais l’occasion d’assister à un tel spectacle.

Je me sentais jouir du cul. Les vibrations de l’œuf complétaient mon plaisir. Je me sentais légère, aérienne. Je volais dans un autre monde. Un monde fait d’amour, de plaisirs et de jouissances. Soudain, une vague plus puissante que les autres me submergea. Ma tête ballotait dans tous les sens. Je criais. Je pleurais. Je jouis puissamment. Mes jambes me lâchèrent. Jeff me retint par la taille. Ce geste lui donna le coup de grâce. Sa queue enfoncée encore davantage lâcha des jets puissants qui inondèrent mes entrailles.

Le léger relâchement de sa part qui suivit ne put me retenir et je me laissais tomber. À genoux, je tentais de récupérer de mon plaisir indicible. Alors que je relevais la tête pour voir mon amant, je me trouvais face à sa queue encore de belle taille et dont le gland laissait s’écouler un peu de sperme. Sans hésitation, je le pris en bouche pour déguster le reste de crème. Je suçais et léchais sa queue pendant de longues minutes, sans aucune lassitude.

Jeff me releva pour me ramener à la voiture. Sur le chemin du retour, je me retournais pour faire un signe à notre voyeur.

Une fois arrivés à la voiture, Jeff me nettoya les genoux recouverts de terre et m’embrassa passionnément. Il me remit le plug avant que je m’installe.

Nous rôdâmes quelques kilomètres avant de trouver une superbe auberge où nous décidâmes de nous arrêter pour manger. Nous avions très faim tous les deux.
Je me rhabillais avant de rentrer sous l’œil réprobateur de mon amant…

En attendant les plats que nous avions commandés, je regardais mon téléphone. Plusieurs messages et sms auxquels je répondrais plus tard. J’écrivais un message pour rassurer Paul, mon mari. Je lui dis que tout se passait pour le mieux et que nous devrions arriver vers dix-huit heures et que je l’appellerai quand nous serions à Lodève.

Le repas était gourmand et copieux. Affamés comme nous étions, nous ne laissâmes rien dans nos assiettes ; un café, et reprise de la route.

Il n’y eut rien à signaler dans la suite de notre voyage. Le spectacle magnifique des paysages traversés nous enchanta.

Nous sortîmes à Lodève prendre de l’essence. Il était dix-sept heures quinze. J’appelais Paul pour lui dire que nous arriverions à peu près à l’heure prévue.

Jeff me donna les clés. « À toi de conduire. C’est chez toi. »

Je n’étais pas très fière, mais je ne devais pas le montrer à mon amant. Je devais faire la grande !!!

Finalement, je gagnais en assurance et pris plaisir à conduire « ma » Mini.

Nous arrivâmes à dix-huit heures cinq. Paul était dans le jardin. Il vint vers nous avec un grand sourire. Il m’ouvrit la portière. Je descendis en ouvrant bien mes jambes pour qu’il découvre mon sexe nu. Il m’embrassa passionnément en me pelotant les fesses. Il me félicita pour la conduite, pour la voiture et pour le bonheur que je lui avais donné grâce à cette semaine parisienne. Il était le cocu le plus heureux.

Il alla rejoindre Jeff pour le remercier pour tout ce qu’il avait fait pour moi. Paul avait les larmes aux yeux. Il embrassa Jeff qui ne savait pas trop comment se comporter. Il le remercia à nouveau pour toute l’attention et la délicatesse qu’il avait eue avec moi.

Je vins entre mes deux hommes pour rentrer à la maison. Les mains de Paul et de Jeff me pelotèrent les fesses avec passion. Mon mari s’amusa avec le plug tout en m’embrassant dans le cou.
J’étais aux anges.

Paul invita Jeff à prendre une coupe de champagne. Nous trinquâmes tous les trois à l’amour. Mes deux hommes se serrèrent contre moi pour m’embrasser alternativement. J’étais comblée.

Je les abandonnais pour prendre une douche car j’en avais besoin. Je laissais tomber ma robe par terre, et montais nue l’escalier. Le regard de mes coquins scotché sur mes fesses.

Jeff annonça qu’il allait chercher les bagages. Paul l’accompagna.

Une fois lavée, j’enfilais un déshabillé noir en dentelles. Je gardais mes objets intimes.

Un silence admiratif m’accueillit. Je rougis de confusion. Paul et Jeff avaient des choses à se dire semble-t-il ; surtout mon amant qui avait donné son téléphone à mon mari pour qu’il récupère toutes les photos et vidéos qu’il avait faites à son intention.

Après avoir repris un peu de champagne, j’accompagnais Jeff à l’étage qui voulait se doucher. Je lui remis une serviette et un peignoir. Il m’embrassa langoureusement. Il semblait très satisfait de notre relation à trois.

Quand Jeff redescendit, j’avais déballé mes affaires et remis à Paul ses cadeaux.
Nous grignotâmes assis par terre sur des coussins autour d’une table basse sur laquelle Paul avait disposé quelques tapas. Le Chablis avait remplacé le champagne. La fatigue aidant, l’alcool nous avait un peu enivrés.

Mon mari proposa à mon amant de dormir avec moi dans notre chambre. Contrairement à moi, Jeff parut surpris, mais heureux de pouvoir encore passer un moment avec moi.

Comme nous étions fatigués, Jeff me proposa de dormir contre lui, mais ma tête plus en bas, avec son sexe dans la bouche, comme si je suçais mon pouce avant de m’endormir. Il avait trop apprécié ma fellation nocturne. Et qui sait ?

Je fis comme il dit. Ravi de pouvoir encore déguster sa tige dont je ne me lassais pas.

Plus tard, tandis que je m’étais endormie, je sentis ma bouche s’élargir.
La queue de mon amant grossissait dans ma bouche. Excitée, je commençais à titiller le gland avec ma langue. Ma caresse le fit encore grossir et je sentis son bassin bouger, sa queue rentrant et sortant de ma bouche. Il semblait aimer ce plaisir sexuel. Excité par la situation et par mes jeux de langue, mon amant jouit très vite. De puissants jets m’inondèrent la gorge. J’avalais toute sa crème avec plaisir avant de me rendormir, bercée par de doux rêves érotiques.

C’est l’odeur du café qui nous réveilla. Jeff me remonta à son niveau pour m’embrasser. « Alors ? Que s’est-il passé cette nuit ? »
En riant, je lui avouais que je l’avais sucé jusqu’à boire sa crème épaisse et goûteuse. »
Jeff n’en revenait pas. Était-il sincère ???

Paul patientait dans la cuisine. Un petit déjeuner copieux nous attendait.

Une fois repus, il fallait nous quitter. Jeff voulait appeler un taxi. Paul refusa tout net et le raccompagnât. Jeff m’embrassa pour une dernière (?) fois. J’osais espérer que non. J’avais pris goût à sa queue et à ses jeux coquins.

De retour, à la maison, Paul me serra dans ses bras et m’embrassa. Il m’emmena dans la chambre où nous fîmes l’amour tendrement et passionnément. Paul était conquis par Jeff et m’avoua l’avoir invité à me recontacter pour faire tout ce dont nous aurions envie tous les deux.

Après nous être douchés, nous reprîmes un café dans le jardin. Paul avait mis de côté un article du « Midi-Libre » : ouverture de la ligne TGV entre Montpellier et Barcelone….
Peut-être une autre escapade coquine pour Éva ?

Voilà, ce premier récit est terminé. J’espère qu’il vous a donné autant de plaisir à le lire, que moi à l’écrire. Paul m’a beaucoup aidé dans ma quête de liberté et je ne le remercierai jamais assez pour cela. À ce propos, j’ai écrit une autre histoire dans laquelle Paul parle de candaulisme et pourquoi, il aime me voir, me savoir prendre du plaisir. Je vous engage à la lire.

Pensez à me laisser des commentaires, ainsi qu’une adresse mail pour que je puisse vous répondre.

À bientôt sur HDS et seulement sur HDS. Les autres publications ne viennent pas de moi.
Sofie34fr

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